Guillaume Martin aura la gentillesse, à de nombreuses reprises lors de ce Tour de France 2017 de répondre à nos questions. Premier point ce samedi à l'occasion de la 1ère étape, après laquelle le pensionnaire de l'équipe Wanty-Groupe Gobert s'est confié sur ses grands débuts sur la Grande Boucle.
Comment s’est déroulé ton chrono Guillaume ?
Comme un chrono habituel, c’est à dire pas une performance exceptionnelle, mais j’ai réalisé une prestation appliquée, en essayant de bien gérer mon effort et d’être régulier. Un autre point positif, c’est que j’ai réussi à passer non pas entre les gouttes, parce que c’était assez humide, mais entre les chutes, car j’ai vu pendant mon chrono Valverde sur le bord de la route, et on m’a dit qu’il y avait eu également d’autres chutes lorsque j'étais sur le parcours. Cela m’a donc refroidit un peu, si tenté que j’étais chaud pour les virages, et j’ai été prudent.
Es-tu satisfait que la course soit lancée désormais ?
Oui, car jusqu’à présent il y avait tous les à côté, et c’était assez prenant, et forcément, lorsque c’est le cas, on attend que le côté sportif reprenne le dessus.
Comment tu as vécu justement ces derniers jours avant le départ de ton premier tour, un peu de nervosité, de stress ?
Pas vraiment non, plutôt du plaisir d’être là surtout. J’ai abordé la course de manière étonnement calme, même pour ce chrono, j’étais plus relax que lors du contre-la-montre du Dauphiné par exemple, donc non, pas de stress.
Une émotion, une pensée particulière sur la rampe de départ ?
Non, à vrai dire j’étais déjà concentré sur mon chrono, j’ai essayé de faire mon truc, et je me suis abstrait du contexte
Remerciements à Maxime Segers