Nous continuons ce mardi notre fil rouge du mois de juillet, les interviews découvertes des coureurs qui rejoindront l'élite en tant que stagiaires à partir du 1er août. Aujourd'hui, c'est Benjamin Dyball, le futur pensionnaire de l'équipe Delko-Marseille Provence KTM qui a accepté de répondre à nos questions.
Bonjour Benjamin, peux-tu tout d’abord te présenter à nos lecteurs ?
Bonjour, je m’appelle Benjamin Dyball, et je suis originaire d’Australie.
Quand as-tu débuté le cyclisme ?
J’ai débuté par le VTT à l’âge de 13 ans, mais je n’ai jamais pris ça sérieusement. C’était juste un plaisir pour moi.
Quel type de coureur penses-tu être?
Lors de mes débuts, j’étais essentiellement un pur grimpeur, mais désormais je dirais que je suis plus grimpeur à l’aise également sur le chrono.
Il y a quelques semaines, tu as signé un contrat de stagiaire au sein de l’équipe Delko-Marseille. Était-ce une surprise pour toi, ou quelque chose que tu attendais ?
Non, je ne m’attendais pas à signer un contrat de stagiaire avec Delko-Marseille, cela a été une surprise complète pour moi. Frédéric Rostaing m’a contacté après le Tour du Jura, et m’a offert ce contrat. Puis je suis allé à Marseille où je l’ai rencontré, ainsi que d’autres membres du staff. Tout le monde a été très sympa et attentionné avec moi.
Quels vont être tes objectifs pendant cette période de stage ?
Mes objectifs en tant que stagiaire seront de courir du mieux que je le peux, et de faire tout ce que l’équipe me demandera pendant les courses.
As-tu déjà une idée de ton calendrier de courses ?
Pour l’instant, je ne suis pas encore fixé sur ce que sera mon programme exact.
Est-ce que tu ressens une quelconque pression par rapport à ce stage, et à l’idée de briller pour obtenir un contrat en 2018 ?
Je ressens un peu de pression par rapport à cela en effet, mais tout ce que je peux faire, c’est de me donner à 100 % de mes capacités. Pour être honnête, actuellement je ne la ressens quand même pas trop, même si cela peut changer au moment de prendre part à ma première course.
crédit photo : Kim Caritoux